dimanche 28 janvier 2007

Des nouvelles bottines

Pour remplacer les miennes qui ont au moins huit ans maintenant.
Elles ont succédé à deux autres paires qui venaient d’une grande chaine de chausseur, beaucoup moins solides - elles n’ont tenu que deux ans chacune, c’est peut-être pour ça que le chausseur en question ne les a plus remises en vente ensuite ? ou alors c’est encore une question de mode….
Quoiqu’il en soit, mes bottines actuelles -second hand- commencent à faire sérieusement la gueule. Ça m’attriste car depuis huit ans que j’en suis la propriétaire, je jette un œil de temps en temps dans les vitrines au cas où je trouverai leurs remplaçantes.
Et bien je dois avouer que jusqu’à présent c’est mission impossible.
Pourtant, si: une fois j’ai failli dénicher quelque chose. Le souci, une fois essayées, est que je flottais dedans, elles étaient beaucoup trop larges pour mes chevilles. (Oui, ça peut-être utile, surtout en ces temps de gloire ;-). Elles me plaisaient bien, avec leurs bouts « fleuris », tant pis.

Pour conclure, je pense que ce n’est pas un cadeau facile, et ce ne sera pas une surprise. Ou plutôt, si jamais quelqu’un m’annonce avoir trouvé, oui, ce sera une grande surprise et je serai très impatiente d’aller les essayer…

vendredi 26 janvier 2007

Encore ratée !

Je l’ai ratée lorsqu’elle jouait la Dame aux Camélias il y a 5 ou 6 ans, (merci L2C,L, je t’en veux à mort), et cette fois-ci je ne voulais pas manquer Isabelle Adjani sur scène, dans Marie Stuart. Je pensais qu’elle serait au théâtre Marigny jusqu’en juillet 2007, mais apparemment c’est terminé…





J’avais vu Ondine, non je n’étais pas dans le public, j’étais bien trop jeune, mais ce qui en avait été filmé, et déjà je la trouvais formidable. En Reine Margot elle était grandiose, comment l’aurais-je perçue en Marie Stuart?

mercredi 24 janvier 2007

Bulles, 1ère!

Il y a quelques années, j’étais allée acheter deux poissons rouges, au marché aux fleurs de l’île de la cité à Paris. Ils étaient charmants, ces poissons. Je leur avais choisi également une belle plante aquatique pour leur faire un peu de verdure et pour varier leur paysage. Oui, c’est vrai, un aquarium rond, c’est très joli, mais j’avais un peu l’impression, en tentant de me mettre à leur place, que ça devait être « Waterloo, morne plaine ».

Ça a été Waterloo morne plaine.

Deux jours plus tard, je retrouvais Jim le ventre en l’air. Et sans équivoque, ce n’était pas un poisson savant, préparant un ballet aquatique dans le genre de ceux d’Esther Williams. Non. Mort. Dead. Muriò. Tod. Morto.
Fin de l'Acte 1 et mort d'un poisson pas voyageur.

Acte 2.
Jules se retrouve donc tout seul dans son aquarium. (Qu’est ce qui m’a pris de les appeler comme ça ?...)
Encore deux jours de plus, ou peut-être une toute petite semaine. Il décida de suivre le même chemin que son compagnon.

Je crois qu’il est mort noyé.

Je ne plaisante pas : mon hypothèse d’apprenti Sherlock Holmes est que la plante avait bouffé tout l’oxygène.

Ou pas.

Fin de l'histoire.
Résultat : je n’ai plus de poissons rouges, et je verrais bien cet aquarium retrouver des locataires rapidement.

lundi 22 janvier 2007

Di cali soun

Des calissons, ceux du Roi René, de préférence, les classiques dont je ne me lasse pas depuis l’enfance. Lorsque ma grand-mère provençale était encore parmi nous, elle nous envoyait chaque année pour Noël, une grande boîte de ces calissons aixois. Ils trônaient en bonne place parmi les « Treize Desserts », revus et corrigés, mais bien provençaux.
C’est un goût d’enfance, et qui plait toujours à la « grande personne » que je suis devenue depuis longtemps.

On raconte que « le Calisson fit son apparition à Aix en 1454 à l'occasion du repas de noce du second mariage du Roy René avec Jeanne de Laval.
Au cours du repas la princesse qui ne riait jamais, eut à peine goûté cette précieuse gourmandise que son sourire en signa le titre de noblesse.
Elle demanda alors au roi ce que c’était que ces confiseries :
- Di Calin soun, lui répondit-il (ce sont des câlins)
Le calisson venait de naître. »

vendredi 19 janvier 2007

Japonisme

Au mois de décembre, sur l’une des expos de créateurs à laquelle je participais, j’ai découvert la créatrice Monika Koizumi et ses ceintures inspirées des Obis japonais créés sous le nom Wa-Mono.
On en voit de plus en plus depuis quelques années, mais c’est vrai que ceux-là sont particulièrement beaux. Réalisés avec des tissus somptueux, restes de kimonos anciens, et rubans de soie, ils iraient très bien sur un de mes jolis chemisiers, par exemple.

mardi 16 janvier 2007

Précieux


Le collier de Marie Pastorelli, Terres Précieuses.
Repérée sur le salon Maison et Objet… quand ? Je ne sais plus, à vrai dire.
Tout ce dont je me souviens c’est que j’ai eu un véritable coup de cœur pour ce collier en céramique émaillée de métal, une pure merveille à mon goût. Je crois qu’il y en avait un autre exposé, quelque chose comme un col avec des plumes de coq couleur jais, très beau, encore plus fabuleux peut-être, mais c’est bien celui-ci, en photo que je préfère.
Tiens, je viens de me rendre compte qu’elle sera à nouveau sur le salon pour la prochaine session, à la fin du mois, dans le hall 4, stand D19. (je dis ça juste comme ça…)

jeudi 11 janvier 2007

Philémon


Je suis tombée dedans un soir, après le dîner, dans le salon d’une grande maison à la campagne, près de la cheminée qui me réchauffait doucement. Il n’y avait rien à faire. Les adultes discutaient de choses sérieuses comme toujours, les enfants – si enfants il y avait - étaient absents, et je me retrouvais seule, à tourner en rond, sans me décider à monter dans ma chambre…
C’est là qu’un album de bande dessinée m’a fait de l’oeil, perché sur la plus haute étagère de la bibliothèque. Il a fallu que je joue les équilibristes en grimpant sur le dossier de l’abominable vieux Chesterfield tout râpé. Heureusement que personne n’a rien vu !
A cette période là, à part Tintin et Lucky Lucke, je n’y connaissais strictement rien en ce domaine. J’ai fait la connaissance de Philémon, de son univers et des personnages qu’il côtoit avec délices. Je me suis évadée avec ce grand garçon pieds nus, vers l’île du A, où poussent des arbres à bouteilles entre autres. Il est le digne héritier des Gulliver et autres Cyrano de Bergerac, bien à mon goût.

mardi 9 janvier 2007

Panier pas trop percé

Je voudrais...
Circuler dans Paris à vélo. Certains disent que c’est de la folie, que c’est très dangereux… Je ne me mouille pas trop, ma « petite reine » reste souvent à l’abri, j’évite les grands boulevards (quoique pas tout le temps), bref je ne la prends pas tous les jours. Mais quand ça m’arrive, c’est là que je me rends compte qu’il lui manque un accessoires pas inutile : un panier.



Encore une fois je n’ai pas d’idées vraiment précise sur le modèle, mais en voilà un par exemple qui me plairait. On le trouve ICI.
Mais ce n’est vraiment qu’un exemple.

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EDIT DU 26 FEVRIER 2007:
Photobucket
J'ai trouvé, via Oh Joy! celui que je voudrais. Il vient de chez Design House Stockolm... Comment ça je risque de me le faire piquer?!

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EDIT 2013 : Je n'ai plus de vélo, alors le panier attendra! Et puis je ne suis plus très sûre du panier en dentelle de plastique...

dimanche 7 janvier 2007

Assiettes sucrées


Non, ce n’est pas la théière que je voudrais, ni le mug (j’en ai déjà un) : ce sont les assiettes à dessert, les 6, chacune avec un gâteau différent. Elles sont vraiment…à mon goût !
Porcelaine Fauchon. Je les ai repérées au Lafayette Gourmet (niveau -1 !) à Paris, mais je n’arrive pas à les trouver sur internet ou ailleurs. Elles ne doivent pourtant pas être si difficiles à dénicher ?


jeudi 4 janvier 2007

Avec de la crème fouettée…




… vous transformez un « simple » chocolat chaud en chocolat viennois, et tout ça, c’est au café Florian à Venise.
Un plaisir délicieux, en hiver, le matin tôt au sortir du train, ou plus tard en fin d’après midi: le soir tombe déjà, l’humidité monte de la lagune et se fait plus pénétrante, l’eau suinte entre les dalles de la place San Marco, il fait nuit et je frissonne.
Les lumières du café sous les arcades, comme un appel vers la chaleur des petits salons anciens, aux moulures passées, aux miroirs ternis où les silhouettes des danseuses orientales et autres mandarins désuets semblent veiller sur les visiteurs de passage.
On y croise gourmands et curieux, venus de tous les pays du monde, et ce café magique, ce boudoir sucré est propice aux plus étranges des mirages. Le plus banal ou commun des touristes est curieusement transformé en un personnage de roman, discret ou haut en couleurs… J’y ai rencontré Byron, Corto Maltèse, Chopin et George Sand. Casanova et Turner n’étaient pas loin tandis que Falstaff et Mimi me demandaient de quel tableau de préraphaélite j’étais sortie…

A chaque fois, c’est la même étrange impression, celle d’entrer dans un autre monde, comme si la porte de ce café était vraiment magique.

Y retourner, je dois y retourner.


Le café Florian vu par A. Lindner

mardi 2 janvier 2007

Le Cirque de Soleil

JE VEUX ALLER LES VOIR !!!!!!!
Le Cirque du Soleil passe en France au printemps, et les places sont déjà en vente… Tiens, mais mon anniversaire aussi tombe au printemps…

SAINT-DENIS (Paris)
10 mai - 15 juillet, 2007
Sous le Grand Chapiteau
s/n Rue André Campra

EDIT du 6 avril 2007: Ca y est! "On" m'y emmène! Pour le soir de mon anniversaire, dans à peine plus d'un mois maintenant....